Posté: Dim Mai 28, 2006 3:26 pm
L'article de Christian et sa proposition de règle est effectivement dans la logique de se que l'on explore ici.
On retrouve la pique qui opère à 1 case en avant ; pour nous par dessus la tête des premiers rangs, mais la distance est conservée.
On retrouve des bonus surtout en défense (contre les cavaliers), mais aussi en attaque (!?)
Ce bonus n'est présent que si l'attaque a lieu à la pointe de la pique, donc comme nous, que si l'attaque a lieu sur le front (en flanc et à revers il n'y a pas de bonus)
Il y a une gestion de la pique, que nous n'avions pas prévue (elle est cassée, elle tombe, on la ramasse)
Souhaitez vous que l'on adopte le marqueur "pique" comme le propose Christian ?
En revanche, il n'y a pas de gestion de la mise en formation, et surtout il n'y a toujours qu'un personnage par case (tous les 2 m) ce qui ne semble pas réaliste, mais qui permet de respecter le principe "1 case 1 homme".
Il me semble que le rang serré permet d'être plus fort en défense pour deux raisons :
1) la densité du front (2 fois plus d'homme en face, donc 2 épées, 2 piques en face du chevalier ou du fantassin en tirailleur...) ; d'où mon penchant vers le 2 personnages dans 1 case, ce qui donne de manière "naturelle" plus de force en défense si l'on convient que l'attaquant doit s'en prendre aux deux à la fois (sans besoin de convenir d'autre chose)
2) les armes d'hast de 3 mètres qui augmentent encore la densité de pointe dangereuse (en défense)
En revanche, je ne "sens" pas l'avantage en attaque. Le second rang, "clairement" non. Quant au premier rang, deux hommes se gènent plus qu'autre chose sur 2 m de front...
Qu'en pensez-vous ?
Enfin sur l'origine de ces formations, finalement se serait les flamands mercenaires partis aux cotés du roi d'angleterre qui auraient appris des écossais cette technique de combat en formation serrée, et qui l'auraient ramenée à la maison, pour l'utiliser contre les rois de France ?
Ou bien était-ce "dans l'air", les mêmes problèmes (cavalerie lourde) appelant les mêmes solutions (formation serrée) dans l'esprit des hommes, et ces formations serrées auront alors émergée simultanément un peu partout où sevissaient les charges lourdes ?
On retrouve la pique qui opère à 1 case en avant ; pour nous par dessus la tête des premiers rangs, mais la distance est conservée.
On retrouve des bonus surtout en défense (contre les cavaliers), mais aussi en attaque (!?)
Ce bonus n'est présent que si l'attaque a lieu à la pointe de la pique, donc comme nous, que si l'attaque a lieu sur le front (en flanc et à revers il n'y a pas de bonus)
Il y a une gestion de la pique, que nous n'avions pas prévue (elle est cassée, elle tombe, on la ramasse)
Souhaitez vous que l'on adopte le marqueur "pique" comme le propose Christian ?
En revanche, il n'y a pas de gestion de la mise en formation, et surtout il n'y a toujours qu'un personnage par case (tous les 2 m) ce qui ne semble pas réaliste, mais qui permet de respecter le principe "1 case 1 homme".
Il me semble que le rang serré permet d'être plus fort en défense pour deux raisons :
1) la densité du front (2 fois plus d'homme en face, donc 2 épées, 2 piques en face du chevalier ou du fantassin en tirailleur...) ; d'où mon penchant vers le 2 personnages dans 1 case, ce qui donne de manière "naturelle" plus de force en défense si l'on convient que l'attaquant doit s'en prendre aux deux à la fois (sans besoin de convenir d'autre chose)
2) les armes d'hast de 3 mètres qui augmentent encore la densité de pointe dangereuse (en défense)
En revanche, je ne "sens" pas l'avantage en attaque. Le second rang, "clairement" non. Quant au premier rang, deux hommes se gènent plus qu'autre chose sur 2 m de front...
Qu'en pensez-vous ?
Enfin sur l'origine de ces formations, finalement se serait les flamands mercenaires partis aux cotés du roi d'angleterre qui auraient appris des écossais cette technique de combat en formation serrée, et qui l'auraient ramenée à la maison, pour l'utiliser contre les rois de France ?
Ou bien était-ce "dans l'air", les mêmes problèmes (cavalerie lourde) appelant les mêmes solutions (formation serrée) dans l'esprit des hommes, et ces formations serrées auront alors émergée simultanément un peu partout où sevissaient les charges lourdes ?