Des pions "simplifiés" avec appartenance de fiefs.

[Louvois]

estompé c'est pas mal

par contre je comprend pas le manque de cohérence que tu cites.

[Santino]

Certains pions ont déjà leurs propres armes

[Moine Vuy]

Bah historiquement plus d'un écuyer ou chevalier avait ses propres armes et pourtant combattait sous le drapeau d'un autre seigneur.

D'ailleurs pour avoir refais les blasons de tous les pions cry havoc (si certains veulent tous les écus en fichier demandez moi, les autres boites que j'ai suivront (siège et croisade), j'ai observé plusieurs chevaliers portant un écu propre et pourtant brandissant un étendart d'un autre seigneur.

[Louvois]

Certains pions ont déjà leurs propres armes

oui bien sur mais ca fait plus bizarre quand le blason est différent que quand il est pareil.

[Cruchot]

Bah historiquement plus d'un écuyer ou chevalier avait ses propres armes et pourtant combattait sous le drapeau d'un autre seigneur.

Au 14ème siècle, je crois, il fallait aligner au moins 50 hommes d'arme pour pouvoir aligner sa bannière. Evidemment, des seigneurs fieffés dans l'incapacité de réaliser de telles levées se rangeaient sous la bannière de leur suzerain ou autre.
En plus, on savait qu'au pied de sa bannière, en général, on trouvait ceux de son camp.
Parmi les protos de Brux, j'aime bien ceux de gauche avec la vignette en haut à droite.
Pour de la démo cela peut être utile mais dans un cadre d'utilisation normale les bannières "figent" les persos dans un camp et pourtant ce serait bien utile pour des règles de commandement

[Moine Vuy]

Bon ben voilà,
l'une des parties du jour.

Seul les CP ont eut du mal avec les règles à minimum proposé pour combat en terrain extérieur.

Jouabilité apprécié de tous y compris les moins joueurs du groupe, le petit plus : les écus, qu'ils ont créés la semaine dernière (pour notre thème sur le M.A.), que j'ai intégrer aux deux camps les a tous ravis. Les troupes étaient rigoureusement identiques pour éviter un mauvais ressenti chez certains (mauvais joueurs... mais non j'ai rien dit... suceptible ? Oh! oui !).


La semaine prochaine, je complique un peu avec l'apparition du cheval et des règles de commandement.
La dernière semaine un petit siège.

[Moine Vuy]

J'ai oublié de vous donner :
les pions. Il faut les ouvrir complètement sous word pour bien les voir. L'avantage, vous pourrez modifier les noms si vous le souhaitez. (je comprend pas en pdf, la première ligne de symbole des unités est systématiquement retiré.

Et la feuille de marque. Deux trois informations sur le scénario et la prise en main des pions dessus. je n'ai pas mis l'autre mais juste le titre de l'équipe (choisit par les enfants) et l'écu change.

Donc une initiation avec :
=> une carte extérieure (forêt dans mon cas pour expliquer l'absence des cavaliers).
=> 12 pions par armée
=> une feuille de résumé de règles
=> une feuille de marque avec trois complément de règle.
=> partie à jouer en 10-12 tours max.[/list]

[caranorn]

Bah historiquement plus d'un écuyer ou chevalier avait ses propres armes et pourtant combattait sous le drapeau d'un autre seigneur.

D'ailleurs pour avoir refais les blasons de tous les pions cry havoc (si certains veulent tous les écus en fichier demandez moi, les autres boites que j'ai suivront (siège et croisade), j'ai observé plusieurs chevaliers portant un écu propre et pourtant brandissant un étendart d'un autre seigneur.

Historiquement on peut présumer que tout chevalier et/ou sergent portait ses propres armes (armoiries). Pour les écuyer çà dépendait, s'ils étaient majeurs ou déjà titrés on peut présumer qu'ils avaient aussi leurs propres armoiries, sinon celles de leur père non différenciées...

Les deux pions Cry Havoc montrant un chevalier/écuyer/sergent portant une bannière (différente de leurs propres armes) représentent certainement des portes bannières (à ne pas confondre avec des chevaliers bannerets qui ont droit de porter leur propre bannière et non seulement un penançon comme les chevaliers bacheliers). Cet office de porte bannière était assez prestigieux et surtout à grande responsabilité (si la bannière tombe le point de ralliement disparait et la force commandée est probable de débander)...

P.S.: Quelqu'un a noté que les armoiries des Montmorency aient eu moins d'alérions que montrées dans l'image de cette discussion. En fait il me semble que vers 1254 déjà (rôle d'armes Bigot) ils portaient des armoiries à 16 aigles (l'alérion n'existait pas encore comme charge héraldique distincte de l'aigle). Je ne sais pas si des sceaux d'avant 1254 indiquent moins d'aigles...

[Sir Amaury]

Super boulot, ta feuille de combat proposée en une seule page !

[Santino]

Oui c'est bien sympa tout ça

[Sgt.Perry]

(...)

P.S.: Quelqu'un a noté que les armoiries des Montmorency aient eu moins d'alérions que montrées dans l'image de cette discussion. En fait il me semble que vers 1254 déjà (rôle d'armes Bigot) ils portaient des armoiries à 16 aigles (l'alérion n'existait pas encore comme charge héraldique distincte de l'aigle). Je ne sais pas si des sceaux d'avant 1254 indiquent moins d'aigles...

Les armes de Montmorency étaient à l'origine D'or à la croix de gueules cantonnée de quatre alérions d'azur. Lors de la bataille de Bouvines, en 1214, Matthieu de Montmorency rapporta 12 bannières ennemies à son roi qui lui octroya le droit d'ajouter 12 alérions à ces armes.

Vu la souplesse de l'époque sur les armoiries et leur transmission, j'aurais tendance à penser que le Seigneur Matthieu s'est octroyé le droit lui-même.

Olivier