Je n'ai pas d'avis concernant un cheval qui doit reculer de 4 cases : doit-il faire une volte, ou bien peut-il "culer" (comme on le dit tout à fait poliment pour un navire)... j'invoque les spécialites équestres !
Mais bon, je me laisse aller :
J'interpréterais ainsi un recul en essuyant un feu défensif : c'est un moment de sous-motivation, de perte de sang-froid, ou de début de panique (ou de sain sens de survie)... Ce n'est pas directement que les carreaux ou les traits font reculer celui qui est visé, ces derniers auraient plutôt tendance à le clouer sur place ; mais plutôt indirectement, via la partie du cerveau qui pilote mémoire émotionnelle,

... et jambes !
A partir de là, comme le cerveau de l'humain et les jambes du cheval ne sont pas (centaure à part) connectés, j'aurais tendance à poser la question suivante : est-ce que par réflexe de

, un cavalier peut donner les ordres qui conviennent pour faire "culer" un cheval ? Le coté réflexe et le coté grande maîtrise pour faire "culer" un cheval me semble incompatibles.
Après cette longue série de supputations, je pense que le réflexe naturel est de tourner bride, et donc de faire une volte.
Mais je n'affirme rien ; un avis de cavalier serait des plus précieux !
A présent que le cheval a tourné bride, on peut considérer qu'au bout de 4 cases, le cavalier, chevalier, se reprend, pense à sa dame et à son honneur... et s'apprête à repartir à la charge. Il stoppe donc au bout de 4 cases pour repartir à l'assaut.
Enfin, on peut décider que dans la foulée, son sens de l'honneur (et de l'orientation) retrouvé, il effectue une nouvelle volte pour être à nouveau face à l'ennemi. Auquel cas, à la fin de ce mouvement, tout ce passe comme si il avait bel et bien "culé" de 4 cases... A moins que l'on décide que, pour pénaliser le joueur (pas le personnage), il n'ait pas le temps d'effectuer sa volte finale, et qu'elle doive consommer, lors du prochain tour, les PM réglementaires.
Qu'en pensez-vous ?
PS : vous aurez remarqué que je n'ai pas mis longtemps à prononcer mon discours de "zornage"
