[compte rendu] scén. 1 de "Samouraï": L'embuscade.
Posté: Dim Nov 27, 2005 11:47 amJe m'appelle Fuhito et j'etais samouraï,
mais Jichu, le maudit pour quelques pièces de cuivre en plus dans sa bourse de cuir a décidé que je ne lui étais plus utile,
mon père était sous les ordres du sien au service du seigneur local,et le père de mon père avant lui...
Le début du jour verra la fin de sa vie, il revient d'une tournée d'impôts, c'est pour de l'or qu'il m'a trahi, c'est pour de l'or qu'il mourra, il a fait de moins un ronin, la faim m'a fait yakuza !
(liseret rouge Fuhito et les Yakuzas, liseret bleu Jichu et ses hommes)
Jichu tu étais si fier de ton cheval, la pointe de mes flèches se réchauffent à ses entrailles, tu périras à pied, plus jamais tu ne me toiseras de haut, regardes sous cet arbre un de tes hommes déjà ne bouge plus.
Un autre court, court pour réveiller trois de ses camarades que tu as laissés dans ce village que tu estimes peu sûr après l'avoir pressuré comme à ton habitude.
Cette flèche dans la jambe le ralentira, et voila deux de mes compagnons qui enrichissent le sol de son sang.
Pendant ce temps l'un des ronins qui se sont joints à moi pour l'occasion, vient s'empaler de lui-même sur ton katana, une telle maladresse est sans excuse s'il meure je ne le regreterai pas.
Le second ronin s'effondre, assommé d'un coup de naginata sur le casque, je sais maintenant pourquoi ces deux-la n'ont pas de maitre, mais tu n'es pas mieux entouré, l'un de tes yaris fuit devant deux de mes hommes, une de mes flêches est sa récompense finale.
Je recule un peu pour voir si personne ne vient du village, tu en profites pour finir cet incapable de Takuan, bonne chose, sa honte ne rejaillera pas sur ses ancêtres.
Il est temps d'en finir, une de mes flèches traverse ton armure et te met à genoux, la lame de mon katana étanchera sa soif dans un sang plus pur, meurs par les armes des gueux qui m'accompagnent et que ton cadavre pollue les chiens qui en feront leur pitance, Jichu !
Dommage que tu ne puisses voir le dernier de tes hommes chercher à se réfugier sous le chariot contenant ton or chéri, voir mes hommes se précipiter pour la curée comme le fait la meute sur le faon.
Maintenant je dois partir, je ne verrai plus fleurir les cerisiers au village de mes ancêtres, mais le vol des grues disparaît derrière d'autres montagnes, le soleil matinal enflamme d'autres rizières..., je m'appelle Fuhito et toujours je serai samouraï !
Hier soir nous étions trois, Gorodoff dans le rôle de Jichu, Joarloc'h dans le rôle de l'observateur, et moi dans celui de Fuhito.
La partie a été tres fluide grâce aux règles de Samouraï (pas de tir defensif ni d'infiltration) ; elle s'est jouée sous Skype.
J'ai eu plaisir à jouer contre Gorodoff, un adversaire fairplay et plein d'humour.
Je dois dire que jusqu'à présent tous mes adversaires étaient dans ce cas. Je les cite donc et vous les recommande :
Joarloc'h, Gorodoff, Scorion et Reanonyme
mais Jichu, le maudit pour quelques pièces de cuivre en plus dans sa bourse de cuir a décidé que je ne lui étais plus utile,
mon père était sous les ordres du sien au service du seigneur local,et le père de mon père avant lui...
Le début du jour verra la fin de sa vie, il revient d'une tournée d'impôts, c'est pour de l'or qu'il m'a trahi, c'est pour de l'or qu'il mourra, il a fait de moins un ronin, la faim m'a fait yakuza !
(liseret rouge Fuhito et les Yakuzas, liseret bleu Jichu et ses hommes)
Jichu tu étais si fier de ton cheval, la pointe de mes flèches se réchauffent à ses entrailles, tu périras à pied, plus jamais tu ne me toiseras de haut, regardes sous cet arbre un de tes hommes déjà ne bouge plus.
Un autre court, court pour réveiller trois de ses camarades que tu as laissés dans ce village que tu estimes peu sûr après l'avoir pressuré comme à ton habitude.
Cette flèche dans la jambe le ralentira, et voila deux de mes compagnons qui enrichissent le sol de son sang.
Pendant ce temps l'un des ronins qui se sont joints à moi pour l'occasion, vient s'empaler de lui-même sur ton katana, une telle maladresse est sans excuse s'il meure je ne le regreterai pas.
Le second ronin s'effondre, assommé d'un coup de naginata sur le casque, je sais maintenant pourquoi ces deux-la n'ont pas de maitre, mais tu n'es pas mieux entouré, l'un de tes yaris fuit devant deux de mes hommes, une de mes flêches est sa récompense finale.
Je recule un peu pour voir si personne ne vient du village, tu en profites pour finir cet incapable de Takuan, bonne chose, sa honte ne rejaillera pas sur ses ancêtres.
Il est temps d'en finir, une de mes flèches traverse ton armure et te met à genoux, la lame de mon katana étanchera sa soif dans un sang plus pur, meurs par les armes des gueux qui m'accompagnent et que ton cadavre pollue les chiens qui en feront leur pitance, Jichu !
Dommage que tu ne puisses voir le dernier de tes hommes chercher à se réfugier sous le chariot contenant ton or chéri, voir mes hommes se précipiter pour la curée comme le fait la meute sur le faon.
Maintenant je dois partir, je ne verrai plus fleurir les cerisiers au village de mes ancêtres, mais le vol des grues disparaît derrière d'autres montagnes, le soleil matinal enflamme d'autres rizières..., je m'appelle Fuhito et toujours je serai samouraï !
Hier soir nous étions trois, Gorodoff dans le rôle de Jichu, Joarloc'h dans le rôle de l'observateur, et moi dans celui de Fuhito.
La partie a été tres fluide grâce aux règles de Samouraï (pas de tir defensif ni d'infiltration) ; elle s'est jouée sous Skype.
J'ai eu plaisir à jouer contre Gorodoff, un adversaire fairplay et plein d'humour.
Je dois dire que jusqu'à présent tous mes adversaires étaient dans ce cas. Je les cite donc et vous les recommande :
Joarloc'h, Gorodoff, Scorion et Reanonyme
(n'est ce pas Gorodoff).
(c'est celui de droite si j'en juge par son compte rendu, celui de gauche c'est Gorodoff 
aux trousses
00h am - 10h - 3h = 10-11h am 
, un week-end c'est faisable 