Le Forum de Cry Havoc Fan

Hello,

Un nouveau scénario inédit, et gratuit, sera bientôt mis en ligne sur CHF.
Cela mettra en œuvre Guiscard 2.
Par ailleurs, quand j'aurai un peu plus de temps, je vais travailler sur de scénarios pour animer certaines cartes peu utilisées et pourtant disponibles au catalogue d'Historic'One (ex: La bergerie)

Super !

Scénario Guiscard 2
La main au collet

Historique
Décennie 1040, Robert Guiscard vient d’arriver en Italie. Il n’est encore qu’un seigneur brigand qui sévit sur la Calabre depuis son repaire de San Marco Argentano. Pierre de Turra, gouverneur grec de Bisignano, s’en vient négocier avec le Normand. Mal lui en prend ! L’entrevue est un traquenard.

Carte et position de départ :

La carte est Le chemin des croisés
Le joueur byzantin fait entrer ses pions sur la carte en premier par le côté 4. Le joueur normand fait entrer ensuite son groupe A sur la carte par le côté 2. Le groupe B du joueur normand entre sur la carte par les bords 1 et/ou 3 au tour de son choix, à partir du tour 3.
Le joueur normand commence la partie et joue toujours en premier.
La partie se joue en douze tours.

Les pions

Les hommes de Robert (Normands, groupe A)
Chevalier à cheval (Ncc) : Robert
Infanterie légère (Nil) : Avray, Osbern, Rioulf

L’embuscade (Normands groupe B)
Infanterie moyenne (Nim) : Jacques, Eustache, Renauld, Roland.
Javelinier (Nij) : Landry

Les Byzantins
Koursores à cheval (Bcm) : Theophilos (Pierre de Turra)
Peltastoi (Bil) : Alexio, Dorian, Filippo, Patroclus, Philemon
Skutatoi (Bim) : Argyris, Diogenes, Manueles

Règle spéciale
Capture du catépan : Utiliser les règles de capture du scénario 9 (Guiscard)

Conditions de victoire
A l’issue de la partie, le Normand gagne s’il a réussi à capturer Pierre de Tura.
Le Byzantin gagne s’il parvient à tuer Robert Guiscard (la partie s’arrête alors immédiatement).
Si à l’issue de la partie Pierre de Tura est toujours libre et que Robert est blessé, le Byzantin remporte une victoire mineure.

Epilogue
Alors que Pierre s’avance sans crainte, Robert lui met la main au collet et le désarçonne tandis que les Normands mettent en fuite son escorte. Pour retrouver sa liberté le gouverneur dû payer une rançon de vingt-mille onces d’or.