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Moine Vuy a écrit:Du genre je lève mon arme méchamment au dessus de ma tête et le pétrifiant de mon regard et ben... sa laisse à réfléchir et même à préparer sa parade d'un coup hypothétiquement mortel sans plus bouger.
Moine Vuy a écrit:Car encore un autre argument,
Nous sommes dans un jeu segmenté ! Les créateurs du jeu ont du vouloir peut-être offrir grâce à ces règles d'infiltrations costaudes permettre au défenseur une défense honnorable car dans la réalité il serait pas statique mais reculerait pour trouver une meilleure position ou au contraire "chargerait" l'adversaire pour le repousser par des attaques sévère.
Je pense que vous devriiez avoir la réponse avec les rencontres avec le créateur du jeu.
Néanmoins vous avez argumentez à charge contre le défenseur qui ne peut pas faire 25 000 attaques certes, mais vous n'avez jamais défendu le fait qu'il puisse faire réfléchir l'adversaire dans son avance par de multiples actions plus ou moins subjectives ou réèllement efficaces ou même effectuer des manoeuvres de protection, ni même que le personnage qui avance ne puisse être destabiliser par un sol/objet qu'il n'a pas le temps de bien cerner puisqu'il guette tout de même cet ennemi. Alors aux défenseurs de la logique méditez !
Moine Vuy a écrit:Ensuite si je suis votre logique, je prend un risque minimum j'ai le temps de l'encercler, de tapper et logiquement, le personnage encerclé doit fuir car perdant le combat et là hop hop hop j'ai le droit maintenant à une attaque supplémentaire d'infiltration (ben oui s'est toujours la même séquence de combat...) voir deux si un autre personnage adjacent doit lui aussi fuir. Encore une fois vous avez la preuve que votre argumentaire était à charge contre le défenseur pour accélerer le jeu. Mais vous permettez en contre-partie à l'attaquant bien pire :p.
Moine Vuy a écrit:Pour revenir enfin au déplacement de troupes sans encerclement et infiltration dans les lignes. Les argumentaires existant historiquement en conviennent (mais tout ceux qui n'ont pas été écrit, et en particulier les tactiques d'harcèlement courantes chez certaines cultures...). Néanmoins dans tout combat interne à des groupes il y en avait toujours. Les soldats le faisait grâce à la poussée bénéfique des troupes alliés situés à l'arrière et le chox initial. "_Je ne suis pas seul le trou ne se refermera pas derrière moi grâce à mes copains qui me suivent". Par contre y aller seul... je suis pas sûr qu'un combattant infiltrerait les lignes sauf au cinéma et quelque rares cas de bravoure ou de folie empêchant l'instinct de survie.
Cruchot a écrit:L'analyse du moine rejoint Ardant du Picq quand il traite du maintien de la ligne du bataille. D'une manière général, le combattant n'aime pas être isolé.
S'il est en défense et qu'il pressent une menace de débordement, il reculera pour s'aligner sur ses frères d'arme.
S'il attaque, il lui faudra un courage ou une inconscience forte pour quitter l'alignement.
On peut donc scinder une tentative d'infiltration en 2 phases :
phase 1 : l'attaquant infiltrant teste sa volonté :
si raté : il reste sur place et fin de la tentative,
si réussie :
phase 2 : le défenseur teste sa volonté si raté (à moins que cela ne soit réussi) il se replie de n cases (à préciser) sinon il tente le coup au passage avec dans ce cas une chance de succès sur 1-6 par exemple.
un peu lourd peut-être
Moine Vuy a écrit:=> passé à distance d'arme/bras/pied/yyyy d'un ennemi est dangeureux dans tout les cas dans la réalité, ; C'est donc un risque choisit par l'attaquant, non obligatoire et dans une réalité, un personnage ne penserait pas si je fais trois cases de plus j'aurai du trois contre un et en cas de recul j'aurai en prime une attaque durant la retraite sur au moins cet ennemi voir ces deux là !
Ce choix est fait par un joueur qui prend le risque et accroit naturellement ce risque tant qu'il bouge à distance d'arme de l'ennemi.
Moine Vuy a écrit:En conclusion :
Je pense qu'il faudrait intégrer à votre système simplifié pour équilibré ce que vous avez apporté à l'attaquant en lèsant le défenseur (j'dirais même le gentil mouton sans cervelle que vous en avez fait), un jet de moral pour voir s'il accepte de se faire tailler en pièce par cet ennemi finalement très menaçant vu de si près...
Plus simplement pour jouer sans changer les règles de bases, vous auriez pu changer la létalité de la table qui vous effrayait.
Si vous utilisiez les PV la table de base, les résultats seraient bien moins du quitte ou double comme cela vous dérange. Dans l'exemple d'un chevalier à cheval, vous pouvez vous lever avant de le tuer avec les règles d'inflitration ! Le blesser relève déjà d'un bon tirage de dés de dégâts, par contre l'assomé peut se faire plus facilement, encore faut-il réussir à atteindre dans la table l'apparation de dégâts... et pas stop seuelement.
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Donc je dis pas qu'il faut jeter ce qui a été construit, je dis que vous avez lèsé le défenseur dans votre logique incomplète (par ailleurs honnête dans l'argumentaire), donc vous avez modifié grandement un équilibre proposé par les créateurs.
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