tu crois vraiment qu'on soit autant de mauvaise foi ?
Je n'ai en aucun dis cela, les argumentaires que vous avez développez mon séduit, mais je pense sincerement que vous avez modifié l'équilibre premier du jeu.
Vous dite qu'il est absurde qu'un défenseur puisse porter plusieurs attaques. Mais dans le même temps vous permettez un déplacement de X cases + tapper + retapper + retapper si d'autre fuite ont lieu.
Je n'ai pas dit qu'il n'est pas normal qu'un défenseur ne doive pas fuir, s'il est mis en déroute.
Je dis que vous transformez le défenseur comme un être passif qui en dix seconde n'a le temps que de faire une attaque et que dans le même temps, l'attaquant surhomme peut tout faire... Et la cela s'oppose à votre grand argumentaire premier.
Et je crois, que la table première pour contrer l'effet de la segmentation rendant le joueur défensif trop passif, avait équilibré la chose pour montrer que dans une réalité il prendrait des décisions pour contrer l'ennemi.
pas du tout : y a un trou qui se forme, il est comblé
Cet argumentaire, devait je suppose répondre à une autre partie de mon texte que tu as choisis. Car il est hors contexte.
Néanmoins je m'y engouffre, nous sommes dans un jeu ou la poussée est toute discutable. C'est véritablement un choix d'interprétation. Est-ce que je joue au niveau d'une véritable armée ? Ou suis plus dans l'idée de la chevauchée qui est en cours d'élaboration?
Dans le second cas, nous n'avons pas de véritable unité et donc pas de véritable poussée, c'est plus proche du

que de la masse.
Pour jouer avec la masse il faut plutôt jouer au niveau supérieur d'échelle comme dans "Charge Antique ou Médiéval" là nous parlons de champs de bataille conséquant.
Si au contraire j'estime réduire le nombre de bélligérants pour que cela soit jouable, mais que l'idée chaque pion représentant 20/40 homme... bon pourquoi pas...
Mon argumentaire que tu cites dis : passer à porter d'arme (de bras/de pied...) est un risque ! Je persiste et signe.
Une autre solution pourrait aussi de considérer que ce risques doubles ou triple l'effet du terrain. Si l'on veut être plus logique (l'ennemi avance/recul/met son bâton dans mes pattes...) avec la réalité. Là ou j'aurai du faire deux pas finalement je dois parfois en faire dix car je dois le contourner bien plus car il recul aussi...
t'as pas le temps de matter tes voisins en mêlée. et tu es poussé : que le gars le veuille où pas, dès qu'il y a un trou, il sera comblé.
Quand j'ai 100 ou 200 guss qui sont derrière moi, cela peut s'entendre, encore une fois à quel échelle nous jouons ? Sommes nous dans un combat antique d'unité soudé? De piquiers qui doivent faire face comme un seul ? Où sommes nous dans un combat désordonné d'une bande hétéroclite? Pour ma part, j'ai rarement plus de 40-50 pions par combat. Et encore moins souvent tous ces pions en colonne pour expliquer un effet bénéfique de poussée...
=> ces combats relèvent bien plus du

que de la mélée de masse.
c'est normal : c'est l'offensive.
Hum, encore une fois l'argumentaire ne prend pas en compte la segmentation.
Dans la réalité soit nous avons deux charges en même temps pour accroitre le choc des deux côtés du conflit. Soit une unité s'estime mieux défendu par sa position (derrière un muret, devant un fossé...) ou ses armes (une unité de piquier suisse) en restant sur place.
Donc alors que vous défendez la réalité qu'en dix secondes on ne peut pas tout faire pour se défendre. Vous estimez en plus que dans un combat réel chacun charge à son tour ???
Je ne pense pas.
Et pour ma part c'est pourquoi je préfère les règles JDR qui permettent trois solutions au défenseur : la contre attaque, l'esquive ou la retraite limitée. C'est beaucoup plus réaliste malgré une segmentation.
comme c'est dû au recul du défenseur, l'attaquant avance.
L'argumentaire est bancal, bien que réaliste dans le contexte donné.
En effet nombre de fois dans le Jeu nous essayons de faire des infiltrations alors qu'il n'y a pas encore eut de recul de l'ennemi...(et je reparle même pas de la poussée vraiment hypothétique à l'échelle de nos conflit sur carte)
il n'y est pas question de conscience, seulement la nature a horreur du vide
Pourtant, pourtant... si on ne réfléchie jamais comme tu le sous-entend pourquoi une armée par en déroute ??? Pourquoi certains ordres ne sont pas suivi (là, je titille :p)